Charles Hoskinson et David Schwartz en désaccord sur Donald Trump - La Crypto Monnaie

La Cour suprême du Colorado exclut Donald Trump du scrutin pour l’élection présidentielle de 2024 en vertu de la clause constitutionnelle d’insurrection. En conséquence, cela suscite un débat impétueux parmi les dirigeants de la cryptographie. Plus précisément, entre le fondateur de Cardano (ADA), Charles Hoskinson et le CTO de Ripple, David Schwartz.

Oui, la discussion entre Charles Hoskinson et David Schwartz a tourné autour de l’interprétation du 14e amendement et de la procédure régulière. Hoskinson a fait valoir que retirer Trump du scrutin nécessiterait une condamnation pénale, tandis que Schwartz a soutenu que le gouvernement n’a pas besoin d’une condamnation pour priver quelqu’un d’un avantage que seul le gouvernement peut fournir.

Pour une meilleure compréhension, « l’article 3 » du 14e amendement à la Constitution interdit à ceux qui se sont « engagés dans une insurrection ou une rébellion » contre le pays d’exercer des fonctions fédérales.

Par conséquent, la Cour suprême du Colorado a été la première à utiliser cette manœuvre juridique pour disqualifier un candidat à la présidentielle, excluant Donald Trump du scrutin présidentiel de 2024 dans cet État.

Le fondateur de Cardano et le directeur technique de Ripple s’affrontent dans un débat sur l’exclusion de Trump du scrutin d’État

Plus précisément, Charles Hoskinson a accusé les juges d’avoir une haine personnelle envers Donald Trump, arguant qu’ils étaient prêts à abandonner le principe de présomption d’innocence pour le maintenir hors de ses fonctions.

En outre, conclut-il, affirmant que Trump est susceptible d’être reconnu coupable de plusieurs crimes et qu’il est donc approprié que les tribunaux du Colorado examinent ces condamnations par rapport au 14e amendement.

Pour sa part, David Schwartz a défendu que quelqu’un ne peut pas être reconnu coupable de quelque chose qui n’est pas un crime et a souligné que le 14e amendement n’exige pas une condamnation pour activer l’interdiction d’éligibilité.

En réponse, Hoskinson il a pointé que « Ce n’est pas ainsi que fonctionne la loi», et explique que l’amendement en question est devenu «en référence aux agents du gouvernement des États-Unis partis rejoindre la Confédération». En ajoutant que «Une procédure régulière est la base de la constitution».

Comme si cela ne suffisait pas, Schwartz a décrit sa réflexion comme suit : « un tas d’absurdités complètes et totales de bien-être. Indiquant que « rien de tout cela n’est vrai et rien de tout cela n’a de sens. Il est manifestement absurde de prétendre que le gouvernement a besoin d’une condamnation pénale pour vous priver d’un avantage que seul le gouvernement peut vous offrir.».

Désaccord sur la bataille juridique de Ripple avec la SEC

Il y a également eu un désaccord entre la position de Hoskinson et celle de Ripple dans la bataille juridique avec la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis. Réaffirmant son opposition à l’association avec XRP et exprimé ses opinions contraires à celles de Ripple et de sa communauté.

Enfin, tandis que Charles Hoskinson défend la décision en s’appuyant sur d’éventuelles condamnations pénales contre Donald Trump, David Schwartz soutient qu’une condamnation n’est pas nécessaire pour activer l’interdiction d’éligibilité. Êtes-vous d’accord avec l’argument de Hoskinson ou avec la position de Schwartz ? Laissez votre avis dans la zone commentaire.

Je termine avec cette phrase de Ken Follett : «La capacité d’écouter des personnes intelligentes qui ne sont pas d’accord avec vous est un talent difficile à trouver.».

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